Les petits ruisseaux font les grandes rivières

La vraie vie d'une famille recomposée et nombreuse ! Humeurs, désastres, humour, élucubrations et lectures en vrac.

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    Au fil de l'eau,  en vrac,  vie personnelle

    Toutes mes amies

    / 22 janvier 2023 / 20 Commentaires

    Je pense à toutes mes amies, les présentes, les lointaines, les rieuses et les sérieuses,  celles qui sont là et celles qui se sont évanouies dans les allées brumeuses de la vie, emportées…

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  • soirée pyjama
    éducation,  marmots

    La soirée pyjama

    / 8 janvier 2023 / 28 Commentaires

    Depuis longtemps, Chaton voulait inviter un copain à une soirée pyjama. Son choix s’est porté sur Roberto. Roberto, je n’étais pas certaine de le vouloir chez moi toute une soirée, plus une nuit,…

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  • en vrac,  société

    « Qui aime bien vaccine peu » : vous savez quoi en penser (3)

    / 9 mai 2022 / 17 Commentaires

    Aujourd’hui je termine ma lecture critique de « Qui aime bien vaccine peu » de Michel Georget et un collectif de médecins homéopathes. Pour rappel, la première partie (Généralités, Diphtérie, Tétanos) se trouve ici et…

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  • chasseur cueilleur parent michaeleen doucleff
    éducation,  Lecture,  marmots

    Chasseur Cueilleur Parent, de Michaeleen Doucleff

    / 7 avril 2022 / 29 Commentaires

    CHASSEUR CUEILLEUR PARENT, LE LIVRE PHENOMENE clame le bandeau vert au bas de l’ouvrage. LES CULTURES ANCESTRALES EXCELLENT DANS L’ART D’ELEVER DES HUMAINS HEUREUX. QU’ONT-ELLES A NOUS APPRENDRE  ? Telle est la question.…

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  • classe découverte
    marmots

    La classe découverte

    / 28 mars 2022 / 32 Commentaires

    Aujourd’hui est un grand jour. Lapin est parti en classe découverte. On en parlait depuis septembre, de cette classe découverte. Au-début, il ne voulait pas y aller. « Et si je fais pipi au…

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  • marie chetrit education positive équilibre dédicace
    en vrac

    La gazette du jour

    / 4 mars 2022 / 24 Commentaires

    Mes lapins des îles, J’aurais voulu écrire un article rigolo et léger, mais il faut bien reconnaître que l’actualité ne m’aide pas. On pensait se sortir du covid et paf, Poutine envahit l’Ukraine…

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  • marie chetrit éducation positive une question d'équilibre Solar Villejuif 29 janvier 2022
    en vrac

    Viens me voir

    / 22 janvier 2022 / 11 Commentaires

    Navrée de te décevoir, mais ceci n’est pas un article. C’est une annonce, comme dans les haut-parleurs de la SNCF. C’est juste pour te dire que le samedi 29 janvier, de 10h30 à…

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  • au fil de l'eau blog PRGR
    Au fil de l'eau

    Au fil de l’eau ho ho ho #11

    / 11 janvier 2022 / 40 Commentaires

    Toujours en retard pour les voeux, spécialiste du réchauffé pour les chants de Noël et les listes de résolutions jamais tenues, toc toc badaboum bonsoir me voici me voilà ! Avoue, tu te…

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  • Education positive une question d'équilibre Marie Chetrit
    éducation,  en vrac,  Lecture

    J-15 avant la sortie de mon livre

    / 6 octobre 2021 / 52 Commentaires

    C’était il y a 18 mois, en mars 2020.  Nous étions en plein confinement et comme tant d’autres, je découvrais les joies du télétravail et de la continuité pédagogique combinés. Hagarde et dépeignée,…

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    Au fil de la rentrée #10

    / 27 septembre 2021 / 32 Commentaires

    Vous allez me dire que fin septembre, c’est un peu tard pour parler des vacances, et qu’on est plus dans une ambiance potiron-Halloween. Mais j’y tiens, ça me fait un petit revival d’été…

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Hier soir Chaton a voulu préparer une surprise. « Maman, me dit-il, tu peux m’imprimer des cœurs ? je veux faire un cadeau. Devine pour qui c’est ? » Et il me regarde avec son petit sourire trop craquant et ses fossettes aux joues. Je cite quelques prénoms, avant de trouver le bon. « C’est pour N. » me dit-il, avec un grand sourire et les yeux qui pétillent. N., son meilleur copain, son complice de foot, celui qui est déjà venu dormir plusieurs fois à la maison, un bon petit gars avec des parents charmants.
Et le voilà parti à colorier ses cœurs et faire son petit pliage pour emballer son précieux cadeau : une carte Pokemon dorée trop classe (ne me demandez pas laquelle, je ne sais pas). Il s’est appliqué, a passé du temps dessus, a rajouté quelques cœurs collés aux coins pour faire plus joli. Le petit paquet trône sur la bibliothèque en attendant le retour de N. de vacances.
En voyant ce joli cadeau dans lequel il a mis tout son cœur et plein de cœurs, je me demandais pour combien de temps encore, il oserait faire des dessins avec des cœurs ET à destination d’un garçon. Combien de temps avant qu’un autre enfant, ou qu’un adulte, ne lui dise « Aaaah, mais les cœurs, c’est pour les filles » et décrète que mon petit garçon ne peut pas dessiner de cœurs car c’est un truc féminin, l’amour, les manifestations d’affection. Combien de temps avant qu’un enfant plus grand se moque et lui dise « Ah, tu es amoureux de N. » et n’embraye sur des allusions sexuelles, habitué qu’il sera à entendre les adultes autour de lui sexualiser systématiquement les relations affectives entre enfants.
⬇️⬇️⬇️ SUITE EN COMMENTAIRE
De toutes les autrices que j’ai découvertes ces De toutes les autrices que j’ai découvertes ces dernières années, Laurence Tardieu est celle qui m’a le plus touchée au cœur. J’ai rarement lu de textes aussi déchirants et délicats sur les liens familiaux, les non-dits, la douleur et l’amour. Dans son dernier livre, « D’une aube à l’autre », Laurence Tardieu raconte le combat de son petit garçon, Adam, à qui on a diagnostiqué une leucémie le premier jour du confinement, le 17 mars 2020. S’ensuit une hospitalisation immédiate, dans des conditions draconiennes en raison de la pandémie, durant 158 jours.
Elle y raconte le diagnostic, la sidération et l’effondrement, la lutte de chaque instant pour ne pas sombrer, le sentiment d’irréalité quand, relayée par son conjoint après avoir quitté son fils, elle retrouve sa maison et cet univers scandaleusement intact, le soutien –ou non – de ses amis et de sa famille, les mots qui l’ont aidée à tenir debout jour après jour, la joie d’Adam qui demeure malgré tout, le désespoir qui par moment engloutit tout sur son passage, la possibilité de la mort qu’elle finit par admettre, la paix qu’elle parvient pourtant à atteindre, une fois le fond touché et cet amour profond pour son petit garçon qui la porte malgré tout. Elle décrit bien à quel point la vie n'est plus la même après une telle épreuve, et que le bouleversement vécu est définitif.
Surtout, ce texte est un hommage magnifique aux soignants qui sans relâche luttent, expliquent, réconfortent, sans jamais mentir ni enjoliver la réalité, avec respect, empathie et compassion. Adam et sa mère ont aussi rencontré, dans la petite chambre stérile du service d’hématologie de Robert Debré, des trésors d’humanité.
C’est évidemment un texte extrêmement émouvant qui n’est sans doute pas indiqué pour tous, mais que je pense indispensable pour les bien –portants et tous ceux qui veulent pouvoir approcher d’un peu plus près le vécu du combat contre la maladie. Le miracle de ce texte, outre le combat gagné par Adam contre sa leucémie, est qu'il y transparaît un profond bonheur. #instalivre #bookstagram #litteraturefrancaise #laurencetardieu #leucemie #maladie #hopital #litterature #livre #roman #duneaubealautre @editionsstock
Je n'ai jamais été déçue par un roman de Karin Je n'ai jamais été déçue par un roman de Karine Tuil. Je suis loin de les avoir tous lus, mais celui-ci m'a vraiment tenue en haleine de bout en bout. De par son sujet sur le fil du rasoir, tout du long : en bref, Samir, fils d'immigrés tunisiens, jeune homme brillant et ambitieux qui veut prendre sa revanche sur une enfance vécue dans la précarité et la violence d'une banlieue glauque, endosse l'histoire et le prénom de Samuel, son copain de fac, avec qui il s'est brouillé pour une rivalité amoureuse, pensant que cette appartenance supposée à la communauté juive lui ouvrirait les portes des grands cabinets d'avocats qu'il souhaite intégrer. Durant plus de 20 ans, il vit sous une identité bancale et construit sa vie à New-York. Mais il se retrouve pris au piège de sa supercherie, puis vit une descente aux enfers lorsque son passé le rattrape et que la vérité éclate. Comme toujours, Karine Tuil mêle la politique, le milieu des affaires et les conflits actuels pour en faire une construction brillante, avec des personnages complexes, tourmentés, veules mais attachants, à la fois victimes et acteurs de leur propre malheur. En toile de fond, l'intégration et la discrimination, la question délicate de l'antagonisme entre juifs et musulmans, la manière dont le poids de l'actualité et de l'histoire peuvent impacter des trajectoires personnelles, l'implacable système judiciaire américain, l'effondrement d'une vie en quelques instants. Si vous l'avez lu, qu'en avez-vous pensé ?
En mai et juin dernier, je suis partie à Toulouse En mai et juin dernier, je suis partie à Toulouse puis à Mourenx pour des rencontres autour de sujets sur la parentalité développés dans mon livre. J'en ai tiré quelques constats :
➡️ Seuls les parents déjà très impliqués dans ces problématiques se déplacent à ce type d'événements. Cela relativise forcément l'impact réel que nous, personnes agissant sur les réseaux sociaux, pouvons avoir dans la vie réelle. Encore une fois, la vraie vie n'est pas Instagram. 
➡️ Les seules personnes qui agissent réellement dans les situations de maltraitance, sont les assistantes sociales, TISF... Eux seuls peuvent avoir accès aux familles concernées et les soutenir de manière efficace, quotidienne, ajustée, sans discours moralisateur (strictement inefficace).
➡️ La pression et la culpabilisation des mères (surtout) est TRÈS présente. La première femme à ouvrir la bouche dans l'assistance nous a dit : "avec l'éducation positive, je me suis noyée dans le dogme et j'ai perdu pied. J'ai encore du mal à ne pas culpabiliser quand je hausse le ton."  
Une autre a dit :"mes nièces n'ont plus de vie. Sous prétexte de ne pas traumatiser leurs enfants et d'être à leur écoute, elles ont lâché les rênes. Ce sont leurs enfants qui ont pris le pouvoir." 😔 
Un des comédiens (à Mourenx, une troupe a joué des sketchs issus du livre et on échangeait ensuite avec le public, c'était hyper chouette et drôle) m'a dit :" avant de lire ton livre je ne savais même pas qu'on pouvait critiquer Isabelle Filliozat. J'étais à fond dedans avec ma petite fille et je commence à faire machine arrière car ça devenait intenable."
⬇️⬇️⬇️ Suite en commentaire
Parfois j'ai peine à y croire. 11 ans de nous dé Parfois j'ai peine à y croire. 11 ans de nous déjà, 2 naissances. 2 adolescents, 2 petits plus si petits. J'ai l'impression de revivre. Finies les couches, les nuits sans sommeil, les siestes qui bloquent toute activité, les maladies infantiles (ou presque). Finis les sacs encombrants avec goûter change ombrelle et de quoi prévoir tout imprévu.
Je me rends compte d'une chose : je commence à totalement me désintéresser des tout-petits. Ça ne me fait plus envie. Du tout. La toute petite enfance est une page que j'ai définitivement tournée, et que je trouve très ingrate.
Quelle joie de dîner avec nos grands seulement, d'avoir des conversations d'adultes. Quelle joie de laisser les petits aller seuls au miniclub. Bien sûr nous avons ou aurons d'autres soucis, d'orientation, d'avenir, de choix importants, des événements imprévisibles sur lesquels nous n'aurons pas de prise. Mais malgré tout, cette lourdeur est derrière nous.
Maintenant en vacances nous pouvons goûter au plaisir de prendre notre café ensemble le matin, tous les deux, comme au début de notre histoire, et même mieux puisque nous étions déjà jeunes parents quand nous nous sommes connus. On vit presque une seconde lune de miel. 
Si tu es une jeune maman nostalgique : t'inquiète pas, la suite est encore plus belle, et elle peut t'appartenir davantage. Un enfant qui grandit, ce n'est pas le début de la fin comme je l'ai moi-même ressenti il  n'y a pas si longtemps (il y a deux ans encore), c'est le début d'une nouvelle vie. Et c'est grisant. ❤️
Nous nous faisions la réflexion avec mon mari, le Nous nous faisions la réflexion avec mon mari, les femmes topless sur la plage sont de plus en plus rares. Question de pression sur les femmes ou de mode passée ? Lui est habitué, ayant vécu dans le sud tous ses étés depuis l'enfance, à voir ses mère tantes cousines et amies bronzer seins nus. Moi, pas du tout. J'ai été éduquée dans une (trop) grande pudeur qui m'a durablement suivie. Adolescente et jeune femme j'avais un sens suraigu de l'intimité et mes seins étaient réservés à un usage strictement privatif.
Aujourd'hui, je me sens plus à l'aise avec mon corps. Non pas que je me trouve plus belle, après 3 grossesses, non pas que je n'ai aucun complexe (j'en ai plein) mais je suis malgré tout plus confiante et plus détachée du regard des autres.
Hier à la plage, je voyais un vieux monsieur se changer tranquillement, ôter son maillot et exposer sereinement aux regards des autres ses fesses. Des fesses de son âge. Et j'ai trouvé ça chouette de constater chez lui cette simplicité dans son rapport à son corps. En tant que femme, qui suis soumise ou me soumets aux impératifs esthétiques omniprésents, j'aimerais parvenir à cette simplicité dans le rapport à mon corps. Sans ostentation, ni pudibonderie. Et qui sait, peut-être un jour je tenterai le topless ?
Et vous, quel rapport à votre corps sur la plage ?
Un libraire grincheux glissant sur la pente savonn Un libraire grincheux glissant sur la pente savonnée de l'alcoolisme se voit confier une petite fille par une jeune mère désespérée. Cette enfant va changer son rapport aux livres, aux gens et à la vie.
Ce roman trouvé dans les lectures de mes nièces (qui a dit que les jeunes ne lisent plus ?) m'a fait passer un agréable moment. Personnages hauts en couleurs, sensibilité, amour de la lecture et amour tout court : je ne m'y attendais pas, n'étant pas du tout amatrice de feelgood mais ce fut une bonne surprise.
Je finis à l'instant la lecture de "la Républiqu Je finis à l'instant la lecture de "la République du Bonheur" d'Ito Ogawa. Ce roman fait suite à "la papeterie Tsubaki" que j'avais beaucoup aimé et dont je n'ai bizarrement pas laissé de traces ici, bien que je l'ai offert plusieurs fois. Hatoko est écrivain public. Elle écrit pour d'autres les lettres qu'ils ne savent comment tourner : déclaration, rupture, lettre de la dernière chance... Avec soin, elle choisit les mots, l'encre, la plume et le papier qui tous ensemble expriment au mieux la subtilité des propos. Dans ce second opus, elle construit sa vie personnelle et fait face aux blessures de son passé. Un roman bien dans la continuité du premier, rempli de la douceur et des parfums du Japon.
#lecture #roman #romanjaponais #instabook #bookstagram #japon
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